Qui rira verra – La presse en parle

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La presse en parle


2017

La compagnie des Lucioles, originaire de Compiègne, s’arrêtera les 4 et 5 janvier à l’Espace Jean-Legendre pour quatre représentations de son spectacle « Qui rira verra ». « Le rire entraîne souvent le ridicule, le rire tue, alors il doit disparaître » : prisonniers du triste Ard, qui s’est façonné un monde qu’il croit parfait, un univers d’où toute gaîté a disparu, quatre enfants se sont donnés pour mission de lui redonner le sourire en lui racontant des histoires. Seul moyen, pour eux, de retrouver la liberté. Ecrit par Nathalie Papin, mis en scène par Jérôme Wacquiez, le directeur artistique de la compagnie, le spectacle rassemble six acteurs sur scène. La compagnie l’a joué dans de nombreuses villes, mais également au dernier Festival d’Avignon.

L’aventure théâtrale se poursuit pour des jeunes des quartiers du Clos-des-Roses et de la Victoire, à Compiègne. Une trentaine est invitée ce mercredi à la bibliothèque Saint-Corneille pour rencontrer Nathalie Papin, auteur de littérature jeunesse. En octobre, les jeunes ont participé à un stage d’une semaine, dispensé par la troupe de théâtre.

« L’idée, c’est de casser les barrières, explique la romancière. De permettre à des jeunes d’accéder à la culture. » Ce mercredi, ils vont présenter à l’auteur leur adaptation de son texte, « Qui rira verra ». Aura lieu ensuite une séance de dédicaces ouverte à tous, en partenariat avec la Librairie des signes. Le 4 janvier, 150 jeunes seront également invités à une représentation du même texte, par la compagnie des Lucioles, à l’Espace Jean-Legendre.

Ce mercredi à la bibliothèque Saint-Corneille, place du Change, à Compiègne

2016

Le Festival jeune public Massenet pas pour les grands poursuit sa croissance. La programmation de sa neuvième édition, du 29 mars au 16 avril 2016, éclectique dans ses formes comme dans ses thèmes, étanchera la soif de découverte des bébés, enfants et adolescents, bref, de toute la famille !

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La classe de théâtre du collège Saint Just en Chaussée inaugure sa salle de spectacle unique en France

Le collège Saint-Just de Soissons a inauguré sa salle de spectacle vendredi 22 avril, dans le cadre des Journées départementales du théâtre contemporain qui se sont déroulées du 20 au 22 avril à Soissons.  » Une salle spécialisée unique en France dans un collège » souligne Vincent Stanek, le directeur de l’Académie. Le collège Saint-Just se dote en effet d’un outil exceptionnel équipé de gradins, de projecteurs et d’une régie numérique. Ancienne salle de technologie, celle-ci avait déjà été rénonvé en 2004 pour en faire une véritable salle de théâtre. Pour pour répondre à toutes les normes de sécurité, quatre mois de travaux ont été nécessaires à la réalisation de cette nouvelle salle de spectacle. Elle profitera à tous les élèves de l’établissement et tout particulièrement aux classes à horaires aménagés Théâtre (CHAT). Saint-Just est déjà précurseur dans le domaine en ouvrant son enseignement au théâtre depuis 2011, un dispositif qui n’avait été créé en France que 2 ans auparavant. Avec l’ouverture d’un deuxième CHAT à Saint-Quentin, ils sont les deux seuls établissements de Picardie à proposer des classes théâtre au collège. De fait, les candidats se bousculent pour intégrer la classe dès la 6e. L’année dernière, le collège a dû faire passer des auditions à 58 élèves de CM2 de Soissons et de l’agglomération pour 28 places. 4 heures de spécialité théâtre leur sont prodiguées dans la semaine : 2 heures de jeu avec un artiste et 2 heures de cours avec Philippe Chatton, le grand initiateur du théâtre à Saint-Just. Un parcours atypique l’a en effet amené dans cette voie. Bien que professeur d’Éducation Physique et Sportive, son expérience dans le théâtre dans les années 80 l’a incité à ouvrir, au début des années 2000, un club de théâtre puis des ateliers artistiques au collège Saint-Just. « Puis le projet éducatif avec la pratique du théâtre s’est construit petit à petit, explique Philippe Chaton. Aujourd’hui, 135 élèves de la 6e à la 3e sont inscrits en CHAT. Mais attention, ces classes ne sont pas destinées à former des comédiens. Très peu ont d’ailleurs envie de s’engager dans cette voie », précise t il. Il y voit avant tout un enseignement qui ouvre  » à la compréhension du monde par l’apprentissage de la littérature et la maîtrise de la langue, en lien avec d’autres matières ». Philippe Chatton mise aussi sur un axe plus individuel : « L’élève peut faire un travail sur lui-même, sur sa concentration, son attention et sa relation à l’autre. Nous les amenons également vers l’autonomie et le travail en équipe ». Enfin, les CHAT sont pour lui « l’école du spectateur : les élèves voient une dizaine de spectacles par an, au MAIL de Soissons bien spur, mais aussi à Compiègne, à Reims et à Paris. Le collège a d’ailleurs créé un partenariat avec la Comédie Française pour les 3e. Ils y vont régulièrement, ils  y font des rencontres incroyables. C’est un superbe partenariat qui apporte une dimension supplémentaire à l’activité théatre au collège. » Et le travail réalisé depuis 5 ans porte ses fruits, les élèves des classes théâtre de Saint-Just sont de plus en plus sollicités sur différentes manifestations, en particulier pour des lectures à haute voix. Avec l’ouverture de la nouvelle salle de spectacle, Philippe Chatton sent que tous les moyens sont réunis « pour faire travailler et surtout rêver les élèves ».

Benoit MALEPLATE

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Deux cent collégiens de Compiègne, Couloisy et Estrées-Saint-Denis ont assisté vendredi à l’Espace Jean Legendre, à une représentation de Qui rira verra , création de la Compagnie des Lucioles signée Jérôme Wacquiez. À l’issue de la pièce de théâtre, les adolescents ont pu rencontrer les artistes et leur poser des questions.

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Le nouveau spectacle de la compagnie des Lucioles, « Qui vivra verra », interroge le futur de chacun.

Le 3 février, la compagnie des Lucioles avait été la victime collatérale de l’explosion survenue dans la cour du centre social Docteur-Pierre-Gand de Compiègne.

Leur véhicule avait été entièrement calciné lors de l’explosion de deux bouteilles d’oxygène situées dans le véhicule de la section de Compiègne des Sauveteurs de l’Oise. En dépit des difficultés faisant suite à cet incendie, la compagnie a su rapidement rebondir. Elle sera ce vendredi à l’espace Jean-Legendre, pour deux représentations de son nouveau spectacle, « Qui rira verra », de Nathalie Papin.

Ce vendredi 1er avril, à 10 heures et à 14 heures, espace Jean-Legendre, place Briet-Daubigny. Tél. 03.44.09.26.70.

Alexis Brisson

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Le spectacle Qui rira verra donné par la Compagnie des Lucioles dans le cadre de la programmation jeune public de la Ville de Moreuil, a été un succès. Près de 400 écoliers, dont des classes des écoles de Boves, près d’Amiens, ont suivi les deux séances présentées mardi 8 mars à Moreuil.

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Qui rira verra

Deux cent collégiens de Compiègne, Couloisy et Estrée-Saint-Denis ont assisté, vendredi à l’espace Jean Legendre, à une représentation de Qui rira verra, création de la Compagnie des Lucioles signée Jérôme Wacquiez. À l’issue de la pièce de théâtre, les adolescents ont pu rencontrer les artistes et leur poser des questions.

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380 élèves des écoles laonnoises ont assisté lors de trois séances données à la Maison des Arts et des loisirs, au spectacle Qui rira verra par la Compagnie des Lucioles, basée à Compiègne (Oise). « Nous intervenons dans certaines classes dans le cadre d’un Contrat de ville afin de mener des actions de prévention de la violence à l’école, et dans d’autres avec les petites formes du spectacle. Les comédiens assurent depuis le début du travail de création, une présence importante auprès du public scolaire, à travers des ateliers, des lectures, des rencontres.. »

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Un spectacle sur la tolérance et la différence destiné au jeune public . Ard a voulu supprimer le rire pour créer son monde parfait. Brimé, moqué durant son jeune âge, il parait avoir tué l’enfant qui est en lui et est devenu un tyran. « Si vous riez, vous mourrez » assène-t-il aux quatre enfants qui vont raconter leurs histoires. Vont-ils parvenir à le convaincre ?
Dès le début du spectacle, Ard domine la scène où chacun des quatre enfants d’univers et d’origine différents, se cachent à ses pieds dans leur monde pour se rassurer. Le metteur en scène Jérôme Wacquiez utilise les trois dimensions de la scène et se sert d’accessoires ingénieux pour nous amener dans cet univers onirique et haut en couleurs.
Ce spectacle, avant tout destiné au jeune public, entraîne les enfants dans une réflexion sur l’acceptation de la différence et sur la tolérance. Florent Jousse campe un Ard crédible, passant de la cruauté au rire. Les quatre comédiens jouant les enfants amènent chacun une touche de leur personnalité. Même si le rythme soutenu du début du spectacle peine à maintenir son niveau dans la deuxième partie, les enfants apprécieront cette proposition de Nathalie Papin.
Il est à noter que la compagnie mène en amont du spectacle des actions ludiques et éducatives pour préparer les plus jeunes comme ce jeu de l’oie géant organisé dans la cour de l’espace Alya où se déroule les représentations.

Jeudi 14 juillet 2016   Écrit par Daniel Bresson

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Dans une belle mise en scène, par cinq  bons comédiens, un beau spectacle de Nathalie Papin, plein de trouvailles scéniques, très tonique. Le chat ne rit pas, dans ce monde très sérieux Ard va rencontrer des enfants issus des différents continents, qui vont lui apporter le goût du plaisir et du rire. A VOIR pour tous les enfants à partir de 8 ans et ceux qui le sont resté.

 

Pour Ard, c’est un monde parfait… celui où le rire est banni, interdit ! Ce monde, il l’a créé après avoir réduit au silence et laissé mourir l’enfant qui était en lui pour devenir un tyran. Dans ce monde cependant, quatre enfants ne tiennent absolument aucun compte de ces directives totalitaires. Ils vivent au sein d’un univers fait essentiellement de joie, de jeux, de fantaisie pure et… de rires ! L’univers de Ard est fait de carrés bien réguliers… alors que celui des enfants est tout de rondeur. Ard a pour seul compagnon un chat (empaillé?) posé sur son épaule… Autoritaire et même tyrannique avec les quatre enfants qu’il peut parfois menacer de mort, il ne peut pourtant s’empêcher d’observer leurs jeux, d’écouter leurs histoires, leurs rêveries et leurs interrogations sur la vie et ses problèmes.

Sur un texte original de Nathalie Papin, Jérome Wacquiez (Cie des Lucioles, Compiègne) a contruit une belle mise en scène, lumineuse et pleine de mouvement. A destination d’un public jeune (à partir de 8 ans), elle peut être aussi appréciée par les spectateurs adultes. Et elle l’est, assurément… D’autant qu’elle sait faire appel à des effets visuels et sonores plutôt spectaculaires et bien venus et à une réflexion intelligente . Le récit théâtral fait la part belle à l’imaginaire, à l’onirisme, et même répond à des questions fondamentales pour l’enfance comme les origines familiales ou autres, la crainte de devenir grand ou celle de mourir… Au bout de tout ce cheminement apparaît enfin le besoin vital du rire et de la fantaisie et l’acceptation de cette évidence que le ridicule ne tue pas !…

En fin de compte, ce que l’on retient de ce séduisant spectacle, c’est beaucoup de fraicheur et de fantaisie. Et des questions encore et toujours… Sur cet enfant que nous étions, que nous avons été et qui au fond de chacun de nous demeure…

Henri Lepine le 26 juillet 2016

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Pour la huitième fois, Jérôme Wacquiez, directeur de la compagnie des Lucioles, a tenté l’aventure avignonnaise qui s’achève ce week-end.
Pour cette édition 2016, il a présenté « Qui rira, verra », sa dernière création, dans le festival Off. « C’est une pièce plutôt familiale, assure-t-il. Nous abordons dans différents textes le thème du ridicule. Comment réagit-on quand on est ridicule ? En se refermant sur soi-même ? En se disant que le ridicule ne tue pas et que tout le monde peut l’être ? »

L’expérience de Jérôme Wacquiez en Avignon a facilité les choses, notamment pour trouver la salle où se produire. « J’avais déjà présenté une pièce à l’espace Alya et le directeur des lieux avait aimé, raconte le metteur en scène. L’an dernier, je suis venu lui exposé le projet de la pièce actuelle. Il l’a validé et nous a proposé le créneau de 13 h 30. C’est quasiment idéal pour les familles. Et l’espace Alya est une vraie salle de théâtre, avec 104 places, un vrai luxe. »
Des représentations dans l’Oise à l’automne

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Comme pour la plupart des compagnies de théâtre qui jouent dans le Off, il faut arriver à exister au milieu des 1 450 spectacles quotidiens. Pour cela, la parade dans les rues de la ville est primordiale. « Nous proposons un rébus aux gens, jeunes ou moins jeunes, afin qu’ils trouvent le titre du spectacle, indique le metteur en scène. Ça a plutôt bien marché et les retours sont agréables. Avignon, c’est un public dur et exigeant. Il enchaîne les spectacles, et sur scène, nous n’avons pas droit à l’erreur. »

Mais le festival est surtout le lieu incontournable pour les professionnels du théâtre. « Il y a incontestablement un effet Avignon, reconnaît Jérôme Wacquiez. Ça ne se traduit pas forcément en dates ou en tournées, mais des projets peuvent naître ici. C’est surtout l’occasion de présenter son travail, d’échanger, de voir ce qui est proposé à côté. C’est pour toutes ces raisons que c’est important d’y être. Le festival, pour nous, c’est un budget de 55 000 €. »
D’ores et déjà, la compagnie des Lucioles annonce des dates dans l’Oise, puisqu’elle présentera « Qui rira, verra » à Clermont en novembre, et à Compiègne en février 2017.

Patrick Caffin le 30 juillet 2016

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