Capital risque

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Capital risque

de Manuel Antonio Pereira
mise en scène de Jérôme Wacquiez

« Les jeunes de Capital risque, ne sont pas dans le rêve de Rimbaud de changer la
vie, mais dans celui de réussir sa vie. La question de « comment agir ? » est toujours
présente, mais les buts divergent de façon radicale. » Sceneweb.fr, janvier 2020

Le GRRRANIT - Scène Nationale de Belfort
est un soutien à la diffusion du spectacle

Capital risque

de Manuel Antonio Pereira
mise en scène de Jérôme Wacquiez

« Très tendre et acide portrait de bacheliers férus d’ambition. Acrobatique de « parler de
la jeunesse et parlerà la jeunesse » comme l’ambitionne le metteur en scène Jérôme Wacquiez.
[...] Avec Capital risque, il fait l’alliance d’une proposition à la fois modeste et futée dans sa forme
et intransigeante dans son fond. » Nadja Pobel, Théâtre(s), été 2020

Le GRRRANIT - Scène Nationale de Belfort
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de Manuel Antonio Pereira
mise en scène de Jérôme Wacquiez

Capital risque

« Le texte est multi-forme : dialogues, monologues,
réflexions intérieures à haute voix, narration à la troisième
personne. Sous la direction du metteur en scène, les acteurs
gèrent cette complexité avec une clarté impeccable. »
Denis Mahaffey, Le Vase Communicant, janvier 2020

Le GRRRANIT - Scène Nationale de Belfort
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Capital risque

de Manuel Antonio Pereira
mise en scène de Jérôme Wacquiez

« Capital risque met en exergue la volonté légitime des jeunes de réussir
leur vie professionnelle. Mais à quel prix ? » Journal L'Alsace, janvier 2020

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Capital risque

de Manuel Antonio Pereira
mise en scène de Jérôme Wacquiez

« Capital risque met en exergue la volonté légitime des jeunes de réussir
leur vie professionnelle. Mais à quel prix ? » Journal L'Alsace, janvier 2020

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L’équipe

Prix Domaine français des Journées de Lyon des auteurs de théâtre 2019

Auteur : Manuel Antonio Pereira
Texte publié aux éditions Espaces 34

Mise en scène : Jérôme WACQUIEZ
assisté de : Makiko KAWAÏ

Distribution:
Adèle CSECH
Morgane EL AYOUBI
Julie FORTINI
Alexandre GOLDINCHTEIN
Alice BENOIT
Nathan JOUSNI

Isabella OLECHOWSKI
Ali LOUNIS WALLACE
Niels ROELANDT
Yolanda CREIGHTON

Régie générale : Siméon LEPAUVRE
Créateur lumière : Benoît SZYMANSKI
Créateur son : Émile WACQUIEZ
Vidéaste : Yuka TOYOSHIMA
Costumes : Florence GUÉNAND
Scénographie : Adeline CARON, Benoit SZYMANSKI, Emile WACQUIEZ, Simeon LEPAUVRE
Photographe : Émile ZEIZIG
Décor : Jeanne BEAU, Thierry BAILLOT et Cécile KERAUDREN (TN4 – UTC de Compiègne)

COPRODUCTEUR et PRODUCTEUR délégué FAB (Fabriqué à Belleville)

Coproduction :
EPCC Bords II Scènes – scène conventionnée, Vitry-le-François (51)
Le Mail – scène culturelle, Soissons (02)
PETR Cœur des Hauts-de-France, Péronne (80)

Soutiens :
Fonds d’insertion professionnelle de l’Académie de l’Union – ESPTL, DRAC Nouvelle-Aquitaine et Région Nouvelle-Aquitaine, Fonds d’insertion pour Jeunes Comédiens de l’ESAD – PSPBB, Dispositif d’insertion de l’ÉCOLE DU NORD, soutenu par la Région Hauts-de-France et le Ministère de la Culture, Fonds d’insertion de l’École du TNB
Avec la participation artistique du Studio d’Asnières ESCA
Résidence de création Espace Culturel Thann-Cernay
Parcours d’éducation artistique Espace Culturel
Médiathèques Thann-Cernay
Abri Mémoire d’Uffholtz
Centre Culturel MJC de Crépy en Valois
Maison de la Culture d’Amiens – Pôle européen de création et de production, Amiens (80)
CCM François Mittérand, Tergnier (02)

Partenaires :
DRAC Grand Est
Conseil Régional des Hauts-de-France
Conseil Départemental de l’Oise
Conseil départemental de la Somme
Ville de Compiègne
SPEDIDAM
Adami
Réseau Canopé
Académie d’Amiens

COPRODUCTEUR et PRODUCTEUR délégué FAB (Fabriqué à Belleville)

L’histoire

Qu’est-ce que veut dire « réussir sa vie » ?

À la sortie du lycée, un groupe de jeunes de Clermont-Ferrand prend des chemins différents, faisant le choix de leurs études supérieures. Une scission se crée alors entre ceux qui gagnent la capitale pour intégrer de prestigieuses grandes écoles et ceux qui restent en province pour trouver un emploi ou intégrer des écoles ou universités moins renommées.

Pour ces jeunes qui peuvent et qui décident de suivre les formations de ces grandes écoles, une seule chose a de l’intérêt : réussir leur vie professionnelle à tout prix en intégrant l’élite de la société française. Mais dans cette obsession de réussite, plusieurs brûlent intérieurement leur capital émotionnel.

Capital risque, deuxième volet de la trilogie de Manuel Antonio Pereira autour de la jeune génération européenne, met en scène un groupe de jeunes étudiants de Clermont-Ferrand. Souhaitant profondément « réussir leur vie », sans pour autant la changer, ils tentent les grandes écoles parisiennes telles que Dauphine, HEC, ESSEC.
Parmi ces jeunes étudiants, Célia a la soif de réussir professionnellement mais brûle intérieurement son capital émotionnel.

« En tant que psychanalyste et praticien, je me suis rendu compte que les gens sont parfois victimes d’incendie, tout comme les immeubles. Sous la tension produite par la vie, dans notre monde complexe, leurs ressources internes en viennent à se consumer comme sous l’action des flammes, ne laissant qu’un vide immense à l’intérieur, même si l’enveloppe externe semble plus ou moins intacte. »
Herbert J. Freudenberg

Le dossier de présentation